Friday, May 30, 2008

Technology adoption rate in corporate world

Corporations are usually slow in adopting new technology internally... there is usually strong resistance usually among employees to change old habit (the famous comfort zone) or upgrade application implementation barely meeting requirement and specification. A good illustration of this is the too often seen requirement with spec similar as "files X containing all needed info will be sent to Mr. Y mailbox at some specified time schedule".

The email messaging paradigm is still the most natural and the least controversial way for disseminating information to specific recipients among the organization. However, many drawbacks are related to this approach:
  • The publisher application must manage all recipient emails (additions, removals, modifications, etc)
  • The publisher application is also responsible in managing temporary substitution among recipients email (e.g. with vacations, etc..)
  • Sending a large number of messages to various different recipients increase complexity of the publishing application whose scope should focus on the generation of the information
  • Email messaging is less practical for larger data volume content
  • Lack of security: the data sent over mailing application is rarely protected
  • Recipient mailbox is not resilient to failure (e.g. limit space exceeded) resulting in the end-user missing valuable new content delivery
Email used as the communication channel of type Application-to-EndUser, is very frequent everywhere, although a much better and flexible solution exist. RSS feed: RSS stands for Really Simple Syndication. Without going into too much details RSS feed (aka RSS channels) is a mechanism to allow any end-user to receive asynchronously some form of message (e.g. headlines, updates) or even data content published periodically by a provider. The end-user utilizes a RSS Reader (aka RSS aggregator) to stay up to date with new content published without having to know and worry about the publishing schedule. Simple RSS aggregators are directly available inside common web browser and more advanced ones are also available for free.

Some commonly uses of RSS feed include:

  • Notification of new data content within a web site (either just a summary or the full content), typically used by weblogs and news websites.
  • Notification of the arrival of new products in a store.
  • Listing and notifying you of newsletter issues, including email newsletters.
  • Notification of additions of new items to a database, or new members to a group.
  • Weather and other alerts of changing conditions.
Advantages of RSS:
-sophisticated security model can be implemented with RSS by leveraging the web security rules and mechanisms available in the company intranet/portal ;
-the management of all different messages content to all different recipients are off loaded from the publisher responsibility into the individual end-user recipients (except for security which can be managed at the web page level).... allowing the publisher to focus on the data content instead of delivery concern;
- Publisher application has a more standard and accepted way to publish and disseminate ad-hoc type message content (report, data, news, etc,,) among the end-user community within the organization.



Also interesting is the possibility that RSS can offer to corporate intranet and portal: RSS in the intranet. Some people even suggest RSS as a replacement of the email, as a way to get it over with the spamming issue or other shortcomings such as not being able to embed video within email directly.

Martin

Sunday, May 18, 2008

Sel des Alpes

Et oui, le sous-sol de la Suisse ne contient pas trop de pétrole mais on y trouve du sel! En fait, dans une autre ère géologique (200 million d'années.. ces échelles de temps m'apparaîtront toujours inconcevables??), la mer se trouvant sur ce territoire s'évapora et le sel laissé par cette évaporation se trouva pris sous le plissement de la formation alpine.

En jugeant de l'effort qu'ils ont mis pour l'extraire, on comprend bien que le sel était le pétrole de l'époque (début de l'extraction à partir des galeries souterraines fut réalisée en 1684). Les galeries étaient tout simplement creusées au marteau et à la cisette... avançant quelques cm par jour, un seul puit pouvant prendre plus de 26 ans à construire!


Aujourd'hui, le sel de la mine de Bex est extrait en injectant de l'eau sous pression dans les trous forés. Ce forage se fait avec des couronnes (têtes des foreuse couvertes de diamant industriel) qui carottent le roc à plus de 10m par jour! La saumure arrivant par le retour d'eau est saturée à 30% de sel (10x l'eau de mer) et est par la suite canalisée vers une usine afin d'y extraire le sel. La mine peut se visiter car, quoiqu'encore fonctionnelle, tout est automatisé et aucun mineur n'est normalement présent (ils recoivent des sms en cas de pannes ou anomalies!).


La particularité de cette mine qui se trouve par endroit à plus de 450m sous-terre (en fait sous la montagne) est qu'il fait une température stable de 17c. Ceci est dû au gypse déshydraté (roche anhydrite) qui absorbe une grande quantité de l'humidité ambiante... dégageant ainsi de la chaleur. Donc, température fixe, humidité fixe... endroit idéal pour la conservation du vin. Et oui ceci est bien une cave à vin en plein mine sous terre:




On y voit aussi d'autres curiosités comme des fistules (sorte de stalactites creuses... l'eau y coulent de l'intérieure) composées de sel formé par la condensation de l'humidité ambiante... elles ont une croissance rapide du mètre par an (lignes fines sur le fond de la photo):



Mathias ici absorbé par toutes ces explications...



Laurie et Mathias avant le retour au monde extérieur grâce au train franchissant plus de 1.5 kim de couloir étroit:




Du sel, on en trouve un peu partout...en voici formé le long des parois d'une galerie.




En conclusion, ce fut une journée très agrèable et enrichissante passée en famille! Maintenant on sait l'origine du sel des Alpes (tout le sel acheté dans le canton de Vaud provient de cette mine), et sa grande pureté conservée par des millions d'années passé au coeur du roc alpin.

Martin

Wednesday, May 07, 2008

EAI

Most BI architecture found within enterprise today does not exploit the integration capacity offered by more recent technology. These are more typically leveraged by other application systems in the operational area inside the enterprise IT infrastructure. But before giving some thoughts on the reason why (more on this in a coming blog), first I’d like to give more detail on the concept of application integration. Traditionally, this subject has been referred to as the TLA EAI.

Instead of relying on a more prose-like form, I thought to make use of the mind map diagram for describing the concept. I really like Mind map as a way to illustrate, navigate, and represent knowledge on specific subject.

So here is my mind map of EIA (using FreeMind ) .

1. static view:








2. Dynamic View at Mind42



The mind map is hosted by mindshare.com which is still in beta, so may not be available at all times!


Here is the same dynamic view embedded as iframe :





From my personal observation when it comes to EAI, BI applications typically limit its integration to:
  • For the upstream spectrum (i.e. fetching data in) : Bacth-file or database loading in otherwords ETL processing.
  • For the downsteam spectrum (i.e. disseminating the info out) : things usually are limited to sending flat files to external system at scheduled time. Here I only refer to integration between different system applications without including desktop user-type application, where things are different.


Martin

Thursday, May 01, 2008

Visite au château

Aujourd'hui nous sommes allés visiter le Château de Chillon! Nous étions déjà allés avant que les enfants soient nés, mais avec les enfants ça comportait un peu plus d'émerveillement et de magie! Ce château est vraiment typique avec ses tourelles, ses toits en pente, ses douves naturels (le château se situe en fait sur une île rocheuse), son donjon.... c'est son emplacement qui le rend unique. Il est protégé d'un côté par les escarpements des alpes vaudoises et de l'autre par le lac Léman. Les plus anciennes mention du château date de 1150 et sa période la plus marquante est liée aux Ducs de Savoie qui contrôlaient ce territoire stratégique chevauchant la fontière franco-italienne.

Voici quelques photos de cette après-midi passé en famille...



Laurie et Mathias !

Kim et les enfants se racontant des peurs..



une vue sur l'autoroute traversant longeant le lac.


une vue sur le lac



moi et les enfants avec le château en arrière plan.


Martin